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Vous vous souvenez d'Arkanoïd, non ? C'était un de mes jeux préférés sur Atari, quand j'étais petite. Précisément, pour les nostagiques, j'ai découvert Moby Blaster, un jeu de casse-briques en Flash, qui se démarque des autres en ce qu'il possède un module de création, grâce auquel on peut confectionner son propre casse-briques : on choisit les briques de couleurs différentes qu'on dipose sur l'aire de jeu, on y glisse bonus, extraballs, vortex télé-transporteur, briques coulissantes, briques explosives et autres piments. On peut ainsi construire jusqu'à 50 niveaux et les tester à tout moment en réel. A la fin, on sauvegarde son jeu en s'envoyant par mail son URL, qu'on peut aussi envoyer à un ami.
Pour les GuppYstes, j'ai créé celui-ci (1 seul niveau, j'ai quand même pas que ça à faire, hein !) :
Cela fait un moment que j'y songe, mais je me résous enfin à dire quelques mots de la radio installée sur ce blog, dans la boîte Radioblog.
Peka-Radio : le choix de Saute-mouton

Pour personnaliser l'aspect de la radio, en choisissant les couleurs des boutons et des textes, ainsi que l'image de fond, il suffit de renseigner un fichier de config, dont tous les paramètres sont commentés et renseignés dans la doc. En quelques minutes, le tour est joué !
Zanorg Radio : la même en mieux
En furetant, j'ai découvert que Kek, l'un des créateurs de la Peka-radio, à l'instant décrite, avait produit un modèle plus évolué, la Zanorg Radio. Dans sa version basique, elle ressemble furieusement à son aînée, mais elle a l'avantage :
- d'autoriser un nombre de pistes illimité
- d'exister dans une version mini horizontale
- d'exister dans une version mini verticale
- on peut mettre plusieurs fonds *.jpg personnalisés, en affichage aléatoire
- les couleurs sont aisément configurables
- l'installation est toujours aussi simple et bien expliquée
- par iframe, solution guère favorable
- via un include en PHP, ce qui suppose de modifier "en dur" les sources de GuppY
Je ne prends pas la peine de customiser les couleurs de la radio, mais voici un schéma inclus dans la doc qui donne un aperçu des possibilités offertes :

XSPF Web Music Player
Voici une autre alternative, le XSPF Web Music Player, qui, s'il est plus complexe à mettre en place,
Autre atout, le Player se décline en quatre versions :
- le Music Player Slim est une simple, fine et discrète barre horizontale
- le Music Player Extended présente une interface plus sophistiquée. Il affiche notamment pour chaque morceau une image prédéfinie par l'utilisateur au moment où il aura fabriqué sa playlist.xspf
- le Music Player Button est un minuscule bouton, à peine visible, idéal pour inclure du son dans un flot de texte, sans l'interrompre
- enfin, la Music Player Sidebar, réservée aux utilisateurs de Firefox, évidemment, ajoute un panneau latéral de navigation au navigateur
et celui du Music Player Extended, avec les vignettes :
L'avantage de ce player est d'être intégrable à une page sans le recours à l'iframe, grâce à un code fourni sur la page d'aide mentionnée supra. Par ailleurs, le fonctionnement par playlists permet d'avoir accès à un bon nombre de ressources partagées, recensées pour partie sur la page de présentation du script. L'usage du générateur de playlists Webjay facilite d'ailleurs la confection de celles-ci, dès qu'on a un peu compris le principe de fonctionnement, guère aisé à appréhender au début.
Php SHOUTcast : votre radio dans votre page
Retour à un site francophone avec la radio php-SHOUTcast, plus complète que les autres puisqu'elle intègre un mini-chat. Elle est encapsulée dans un mini pop-up et un système de layers transparents permet de basculer d'un affichage à l'autre. Elle fonctionne sans base de données, avec du PHP couplé à un template en CSS, mais l'utilisateur doit aussi disposer d'un serveur SHOUTcast (aïe !), ce qui à mon sens l'éloigne du "podium". Ce qui achève toutefois véritablement de la perdre, est le fait qu'elle ne fonctionne sous Windows qu'avec Internet Explorer et sous Linux qu'avec les navigateurs Mozi'likes (aberration !). Voici néanmoins deux screenshots :


Retour sur le Dewplayer
Je me contente, par souci d'(illusoire) exhaustivité, de recopier ce que j'ai écrit dans ce billet.
Sur le blog de Dew, il existe un minimaliste et sobre lecteur mp3, en flash. Son principal avantage, nous explique l'auteur, est, outre sa légèreté (- 3Ko), de permettre de ne télécharger le contenu du son qu'à la demande (lorsqu'on clique sur play) et non pendant le chargement de la page, ce qui aurait pour désastreux et conjoints effets
- d'en ralentir le chargement
- d'indisposer les visiteurs non désireux d'être assaillis de musique sans avoir été consultés sur la question.
Dans tous les cas, ce lecteur devient un heureux indispensable !



Sur le même blog de Dew, il existe un minimaliste et sobre lecteur mp3, en flash lui aussi. Son principal avantage, nous explique l'auteur, est, outre sa légèreté (- 3Ko), de permettre de ne télécharger le contenu du son qu'à la demande (lorsqu'on clique sur play) et non pendant le chargement de la page, ce qui aurait pour désastreux et conjoints effets
- d'en ralentir le chargement
- d'indisposer les visiteurs non désireux d'être assaillis de musique sans avoir été consultés sur la question.
Dans tous les cas, ce lecteur devient un heureux indispensable !


Mise à jour de la garde-robe du site
Les deux captures d'écran correspondantes ont été ajoutées dans la garde-robe que j'ai mise à jour, en remplaçant d'abord les captures obsolètes par les dernières en date et ensuite, en réorganisant les screenshots comme suit :
- les premières images, préfixées skn_isa_, correspondent aux skins en service actuellement.
- les images suivantes, préfixées sup_, correspondent à des skins antérieures et supprimées
- les dernières images, préfixées toupdate_, sont des captures de skins en réserve, qu'il me faut mettre à jour et qui feront leur réapparition une fois que je les aurai révisées
Où il est encore question de Jane Austen


"- Oh, Elinor, s'écria-t-elle, vous m'avez rendue odieuse à moi-même pour toujours. Comme j'ai été cruelle à votre égard ! Vous qui avez été mon seul soutien, qui avez partagé tous mes maux, qui paraissiez ne souffrir qu'à cause de moi. Est-ce là toute ma gratitude ? Est-ce là la seule récompense que je puisse vous offrir ? Parce que votre mérite était pour moi est un vivant reproche, j'ai tout fait pour le méconnaître."
Infortunée Clara ! Clara la folle !

A l'époque où se situe notre propos "perchait" à Moscou certaine princesse, géorgienne et veuve, à la personnalité équivoque pour ne pas dire suspecte. Elle avait alors une quarantaine d'années ; dans la fleur de la jeunesse elle avait dû posséder ce type de beauté orientale qui se fane si précocement ; maintenant elle mettait du blanc, du rouge et se teignait les cheveux en jaune. Des bruits divers couraient sur son compte, des bruits qui n'étaient pas exactement flatteurs ni parfaitement explicites ; personne n'avait jamais connu son mari, et elle n'avait jamais habité longtemps dans une même ville.


Où entre Hugh et Colin un coeur balance


Où Gibert sauve l'auteur de ce billet tout en pillant son compte en banque

De retour à la maison, je m'adonnai à la lecture effrénée d'Orgueil et préjugés, que je dévorai d'une seule traite, nuitamment, le coeur haut-soulevé dans les moments doucereux, l'estomac noué aux heures de crise, palpitant d'impatience en préméditant l'étreinte finale, évidemment prévisible. Un roman à l'incipit aussi clairvoyant que vitriolé est d'emblée irrésistible :
"C'est une vérité universellement reconnue qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune doit avoir envie de se marier, et si peu que l'on sache de son sentiment à cet égard, lorsqu'il arrive dans une nouvelle résidence, cette idée est si bien fixée dans l'esprit de ses voisins qu'ils le considèrent sur le champ comme la propriété légitime de l'une ou l'autre de leurs filles."
Epilogue où le hasard objectif a le beau rôle

Or donc, mazette, peuchère, figurez-vous que l'un des personnages, Morris Zapp, est un éminent universitaire - jusque-là, rien que de très convenu s'agissant de Lodge - spécialiste de... Jane Austen, passionné par elle au point de prénommer ses rejetons Elizabeth et Darcy ! Breton écrivait dans Nadja que le "hasard objectif" définissait les contours d'un...
"... monde presque défendu qui est celui des rapprochements soudains, des pétrifiantes coïncidences (...), des accords plaqués comme au piano, des éclairs qui feraient voir, mais voir, s'ils n'étaient pas encore plus rapides que les autres... Il s'agit des faits qui peuvent être de l'ordre de la constatation pure, mais qui présentent chaque fois toutes les apparences d'un signal."
Le générateur de clowns diaboliques va me servir de prétexte pour introduire un remarquable gratuiciel Open Source, hélas disparu, car racheté par Macromedia (et devenu payant à l'occasion). Le principe du générateur est le suivant : quand la souris glisse sur le visage du clown, les yeux, la forme du crâne, la bouche, le nez et d'autres éléments du visage changent pour donner naissance à une multitude de visages plus monstrueux les uns que les autres. Ce serait chouette de montrer cette métamorphose proche du morphing, non ? C'est précisément à cela que Camstudio, le logiciel sus-mentionné, sert : CamStudio permet en effet de filmer tout ce qui se passe à l'écran de l'ordinateur dans une fenêtre ou zone définie, pendant un temps donné, son y compris. En réalité, l'animation naît de l'assemblage de captures d'écran prises successivement à intervalle régulier très court. Voilà le travail : Le résultat est exportable sous deux formats : un petit film (*.avi) paramétrable et/ou un fichier flash (*.swf) lui aussi paramétrable. En somme, ce logiciel est idéal pour faire des tutoriels animés, d'autant qu'une fonction permet également d'annoter les séquences.
Où le trouver ?
La version 2.0 de ce bijou a été traduite en français, ainsi que le remarquable et instructif fichier d'aide fourni avec l'application, par Le Patcheur. La version 2.1 est disponible, en anglais seulement, sur Clubic, mais selon un commentaire laissé sur Framasoft, cette version est inférieure à la précédente, car certaines fonctionnalités manquent. En outre, il semblerait qu'il faille s'enregistrer pour l'utiliser. Mieux vaut s'en tenir à la 2.0 donc.
Par ailleurs, en Googlisant un peu, j'ai constaté que le développement de Camstudio semblait reprendre sur Sourceforge, depuis peu. Ceci est possible, parce que les sources du soft avaient été d'abord éditées sous licence GPL. Développement à suivre...


Les utilisateurs d'IE sont quelque peu lésés - ne le sont-ils déjà pas s'ils continuent à utiliser MSIE quand Firefox est si brillant ? Ils manquent l'effet onmouseover des menus latéraux, l'image de fond des liens centraux au passage de la souris, ainsi que les formulaires aux coins arrondis (grâce à la propriété -moz-border-radius: #px). Imparables arguments pour télécharger Firefox, hein ?!
Par ailleurs, j'ai procédé à quelques changements dans les colonnes latérales : d'abord, j'ai classé mes nombreux fils RSS dans un menu rétractable (boîte Syndication) ; ensuite, j'ai momentanément désactivé la boîte Collectionnite pour activer à la place la boîte Outils, qui rassemble des liens vers des outils en ligne, que j'utilise presque quotidiennement pour certains d'entre eux, en tout cas très souvent pour alimenter ce site. J'ai aussi installé sur Saute-Mouton quelques "trucilitaires" :
- un colorpicker, intéressant pour suppléer au sélecteur de couleurs natif de GuppY réduit à une palettes de 216 couleurs
- un convertisseur de code, utile pour insérer dans un article du code sans qu'il soit interprété
- un générateur de palettes, qui produit une combinaison harmonieuse de couleurs assorties
Last but not least, j'ai adapté le script sidebloggenerator pour que la liste des derniers liens que j'ai postés sur mon compte Del.icio.us s'actualise en temps réel dans la boîte latérale Via del.icio.us. Survolez chaque lien avec la souris et une infobulle affichera sa description.

Puisqu'on parle de calendrier, pourquoi ne pas en confectionner un vous-même, pour rompre la solitude de votre pot à crayons, esseulé au coin de votre bureau ? Lancez-vous dans le montage d'un calendrier de forme dodécaèdrique (?), en téléchargeant ce modèle-papier (*.pdf) à découper et plier. Avec du papier ordinaire, le résultat n'est pas heureux, mais avec une feuille légèrement cartonnée, type bristol, on obtient un beau volume.

Très pratique !

Pour avoir un aperçu des divers massacres en règle opérés sur Saute-mouton, visitez la galerie Netdisaster qui présente des captures d'écran réalisées cet après-midi.
Pendant que j'y suis, j'ai réalisé le Polaroïd qui illustre ce billet grâce au Polaroid-o-nizer, un sympathique générateur de Polaroids en ligne : entrez l'adresse d'une image, renseignez la couleur de fond de votre page ainsi que l'angle d'inclinaison du Polaroïd, tapez une légende, validez et voilà ! Hum... passez la souris sur l'image, pour découvrir ce que nos bambins apprendront en lisant ce livre qui leur est destiné :

Le site http://www.transatlantys.com présente le projet de construction du tunnel transatlantique Paris-New York en train. Excitant, non ?



Avant, cela marchait avec le mot-clef "toutesdesbeautes", mais le truc a été tellement diffusé et relayé de blog en blog et de forum en forum que Google a fini par corriger de lui-même sa... comment dire... maladroite gaffe quelque peu misogyne. Bénéficiant d'un week-end de... 3 jours (mazette !) avant une horrible journée de correction du brevet (ai-je ajouté "pouark" ?), j'ai non seulement fait les soldes avec un rare profit (la question étant : vais-je me consumer de regrets à l'arrivée de mon relevé de comptes ?) mais aussi regardé quelques DVDs :

Alfred Hitchcock,
La maison du Dr Edwards (1945),
avec Gregory Peck et Ingrid Bergman.

John S. Robertson,
Dr Jekyll and Mr Hyde (1920, muet),
avec John Barrymore et Martha Mansfield.

David Lynch,
Mulholland Drive (2002),
avec Naomi Watts et Laura E. Harring.
Evidemment, je n'ai compris ce dernier chef d'oeuvre qu'à la lumière du décryptage en 8 chapitres auquel s'essaie Pierre Tévanian, sur le site du collectif Les mots sont importants. Quant aux écrans-titres utilisés ci-dessous pour illustrer les films, ils proviennent de l'impressionnante collection mise en ligne par Steven Hills sur son site et qui comprend rien moins que... 3300 titres ! Une mine d'or ! Je viens d'ajouter dans mes cartons le remarquable smallware Unfreez. Ce gratuiciel, développé par Whitsoftdev, permet de générer vite et bien des gifs animés, sans avoir trente mille réglages à faire. Un des indispensables de ma logithèque !