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Jeanne, la narratrice, est une fillette de sixième qui a oublié tous les mots et doit réapprendre à parler. Echouée sur une île, elle a été recueillie par Monsieur Henri. Elle est alors envoyée à "la Sècherie" :
Dans le couloir, une voix.
Une voix d'avant le naufrage.
Une voix que je reconnaissais entre toutes.
"L'analyse du dialogue entre le loup et l'agneau montre un nom-respect du modèle prototypique : aucune séquence phatique d'ouverture et de fermeture."
Je me bouchai les oreilles, mais la voix se glissait entre mes doigts, comme un serpent glacé.
"Les prémisses-présupposés ne jouent aucun rôle dans l'argumentation éristique choisie par le loup."
Impossible de m'enfuir, le gendarme me tenait par l'épaule.
- Voilà, me dit-il. Nous sommes arrivés. C'est la porte de ta classe. A ce soir.
***
Des vieux. Alignés comme à l'école sur des chaises et derrière des tables, mais rien que des vieux. Et aussi des vieilles. Je m'entends : pas tout à fait vieux, pas tout à fait vieilles, autour de trente à quarante ans, pour moi, c'est le grand âge !
Et Madame Jargonos me souriait :
- Bienvenue, ma petite. Bienvenue dans notre stage. Tu te rends compte de ta chance ? Rien que des professeurs. Autant dire que tu vas réapprendre vite à parler !
J'avais compris : une classe entière professeurs. Ils suivaient l'une de ces fameuses cures de soins pédagogiques.
Pauvres professeurs !
Ils me regardaient d'un air désolé. Un grand brun me montra une chaise libre près de lui.
Et Madame Jargonos reprit sa leçon. Sa chanson incompréhensible.
- Par le "on me l'a dit" du vers 26, l'édifice dialectique achève de s'effondrer pour que l'emporte la seule sophistique du loup. Passons maintenant à la fin de la fable :
Là-dessus au fond des forêts (27)
Le loup l'emporte et puis le mange, (28)
Sans autre forme de procès. (29)
Les vers 27 à 29 sont constitués par deux propositions narratives qui ont pour agent S2 (le loup) et pour patient S1 (l'agneau), les prédicats emporter/manger étant complétés par une localisation spatiale (forêts). Dans cette phrase narrative finale, le manque (faim de S2), introduit dès le début comme déclencheur-complication, se trouve elliptiquement résolu. Vous avez des questions ?
***
Je suis restée deux semaines dans la Sècherie.
Comment appeler autrement notre institut pédagogique ?
Le matin, on nous apprenait à découper la langue française en morceaux. Et l'après-midi, on nous apprenait à dessécher ces morceaux découpés le matin, à leur retirer tout le sang, tout le suc, les muscles et la chair.
Le soir, il ne restait plus d'elle que des lambeaux racornis, de vieux filets de poisson calcinés dont même les oiseaux ne voulaient pas tant ils étaient plats, durs et noirâtres.
Alors, Madame Jargonos était satisfaite. Elle trinquait avec ses adjoints.
- Je suis fière de vous. Notre travail avance comme il faut. Demain, nous dissèquerons Racine et après-demain Molière...
Pauvre langue française ! Comment la faire évader de ce traquenard ?
Et pauvres profs !
La date du contrôle approchait. L'épreuve qu'ils redoutaient le plus était "le glossaire", une liste de mots imposée par le ministère, avec des définitions terribles. Pour l'apprendre, ils travaillaient tout le jour et même la nuit, après l'extinction des feux. Dans le noir, de ma petite chambre dont la fenêtre donnait sur leur dortoir, j'entendais des voix basses, des chuchotements qui récitaient :
"Apposition : cette fonction exprime la relation entre le mot (ou groupe de mots) apposé et le mot auquel il est mis en apposition, relation identique, pour le sens, à celle qui lie l'attribut et le terme auquel il renvoie, mais différente du point de vue syntaxique, car elle n'est pas établie par le verbe." (Programmes et accompagnement de Français, classe de 6e, p. 55, ministère de l'Education Nationale, de la Recherche et de la Technologie, Paris, 1999)
"Valeur des temps : les formes verbales présentent le procès de façons différentes, suivant l'aspect et suivant la relation qui existe ou non, dans l'énoncé, avec la situation d'énonciation. Ce sont ces présentations que l'on appelle valeurs." (ibid.)
Certains, qui ne parvenaient pas à se mettre tout en mémoire, allumaient une lampe de poche. Ils juraient, ils pestaient. Ils pleuraient presque en lisant le charabia : "Une approche cohérente des genres veille donc à faire comparer leurs manifestations dans le quotidien et leurs réalisations littéraires, dans une perspective de poétique générale..." (ibid.)
Malheureux profs perdus dans la nuit !
J'aurais bien voulu leur venir en aide. Après tout, ce "glossaire" avait été fabriqué pour moi, élève de sixième. Mais était-ce ma faute si je n'y comprenais rien ?

Jusqu'à présent, j'utilisais mon Clean converter, mais celui-ci ne fonctionne qu'avec IE ; comme j'utilise Firefox, ce n'était guère pratique...
Le fonctionnement est simple : on entre le code brut dans le premier cadre, on presse le bouton Convertir et on récupère le code formaté dans le second cadre. On peut aussi affiner les paramétrages avec deux cases à cocher. Il n'y a plus qu'à coller le contenu du second cadre dans un billet, pour l'afficher comme ceci :
<div class="boxside">En faisant à l'instant une recherche sur les pseudo-éléments, pour écrire mon antépénultième billet, je suis tombée sur ce tutoriel de Mammouthland, qui propose un usage intelligent des pseudo-classes, dans le but d'économiser du code et de s'épargner de la peine. Je m'empresse donc de mettre en pratique ce que j'ai appris.
<div class="titrebox">Via del.icio.us</div>
<div class="boxcontent">
Considérons donc ce fragment de code :
<img src="img/loading_bleu.gif" alt="Loading" align="middle" /> <small>Chargement en cours...</small>
Je l'ai utilisé, dans ce billet, pour afficher un gif animé, suivi d'un texte :

Si j'applique l'astuce indiquée par le tutoriel sus-mentionné, je peux grandement simplifier ce code en utilisant les pseudo-classes
before:
pour afficher l'image à gauche et :after
pour afficher les points de suspension. Je vais donc créer dans ma CSS la classe loading
, ainsi définie :.loading {
font-size: 10px;
background-color: transparent;
}
.loading: before {content: url(img/loading.gif)}
.loading: after {content: "..."}
Dès lors, mon code HTML se réduira à :
<div class="loading"> Chargement en cours</div>
pour afficher ceci :

et :
<div class="loading"> Patience</div>
pour afficher cette variante :

Naturellement, cette transposition "CSStique" n'est rentable et l'économie de code réalisée n'est sensible que si le code est voué à être répété. Les utilisateurs de FF auront sans doute remarqué que les liens externes de Saute-Mou' s'accompagnent désormais de la mention, en gris et entre crochets, de la langue du site pointé. Les liens internes au site se distinguent d'autant plus facilement qu'ils en sont dépourvus. Comme les utilisateurs d'IE sont privés de cet affichage, voici - histoire de leur donner une raison de plus d'utiliser FF - une capture du phénomène :

Jetons un oeil dans les coulisses : en fait, ce résultat repose sur l'utilisation conjointe de l'attribut
hreflang
et d'un codelet CSS.Du côté du HTML
En HTML, l'attributhreflang
, qu'on insère dans la balise <a href="...">...</a>
, permet de signaler la langue de référence du site pointé par ce lien. Depuis quelque temps, j'inclus dans chaque lien externe la langue du site vers lequel il pointe. Comme je renseigne également l'attribut title
, le code d'un lien externe ressemble à ceci :<a href="http://www.sitexterne.org/" title="Infobulle du lien sous le curseur" hreflang="en">Texte du lien</a>
A l'ombre des CSS en fleurs...
Pour que les liens soient automatiquement suivis de la mention de la langue du site, il faut jouer avec les magi[C]SS et plus particulièrement, avec les pseudo-classes:before
et :after
. Ces dernières gèrent l'inclusion automatisée de caractères et d'images, avant (:before
) ou après (:after
) un élément donné. Elles sont parfaitement gérées par FireFox, NS 6+, Mozilla 1.x, Opéra 6+ et Safari, mais, bigre de saperlotte ! elles ne sont pas (encore ?) reconnues par IE.Dans notre cas, puisque nous voulons ajouter un élément après le lien, c'est la pseudo-classe
:after
que nous retenons. Voici donc les quelques lignes à ajouter à la CSS, pour que tous les liens, dont l'attribut hreflang
est renseigné, affichent la langue du site pointé par le lien, en gris clair et entre crochets :a[hreflang]:after {
content: "\0000a0[" attr(hreflang) "]";
color: #999;
background : transparent;
}
Simple, efficace et utile. Ce soir, j'ai joué avec Photofiltre et Unfreez, ce minuscule assembleur de gifs que vous trouverez au fond de mes cartons pour produire ces gifs animés, signalant un chargement en cours :





En utilisant le code suivant :
<img src="img/loading_mauve.gif" alt="Loading" align="middle" /> <small>Chargement en cours...</small>
on peut combiner du texte aux images, pour obtenir ceci :




Voici une série de barres de progression pastelles :






Avec le code suivant :
<div style="width: 124px; height: 24px; text-align: center; background-image: url(img/progbar_gris.gif); background-repeat: no-repeat; padding: 4px; color: #afafaf; font-size: 11px;">Patientez...</div>
on obtient quelque chose de ce genre :
Patientez...
Chargement...
Le narrateur veut montrer que comme la mère de Paul l'appelle "Poulet" (l. 1), ses comme si il devenait lui-même un "poulet" (l. 1). Le narrateur nous le montre avec les mots "ignorant" (l. 2), "enfant d'esprit" (l. 2) et "niais" (l. 3)
[Quels préjugés nos amis gallinacés doivent-ils endurer !]
Extrait de la recherche lexicale d'Anthony (5ème) :
Glaneuse : personne qui ne fait rien
[Une petite confusion avec "glandeuse" apparemment...]
Merci enfin à ma collègue de Lettres Classiques qui m'a transmis cette délicatesse, trouvée au détour d'un contrôle de cours en 6ème :
Narrateur : c'est celui qui narrate.

Commencez par cocher, dans la liste suggérée, les agrégateurs et lecteurs RSS que vous voulez inclure sur votre site. Notez que vous avez plutôt intérêt à offrir le plus large choix possible, puisque vos visiteurs utilisent sans doute des lecteurs variés. De toute façon, les principaux lecteurs sont présents : Rojo, my Yahoo, Bloglines, Newsgator, My MSN, NewsBurst, Searchfox, Google, My AOL, del.icio.us, Feedster, Furl, Pluck... Ensuite, renseignez le nom de votre site, son URL et celle de son fil RSS. Validez enfin l'ensemble et récupérez votre code personnalisé à copier-coller, ainsi qu'un zip des boutons utilisés, pour le cas où vous préfèreriez héberger les images vous-même - ce qui est recommandé pour éviter de ralentir le chargement de vos pages avec de trop nombreuses requêtes extérieures.
Certes, le générateur a le mérite de faire gagner du temps à l'entoileur pressé et le code généré est bien pratique. On peut toutefois regretter qu'il faille le nettoyer, car il manque des guillemets, certaines balises sont mal fermées, les liens sont dépourvus d'attribut
title
et certaines images privées de balise alt
. Par ailleurs, si votre site est en XHTML, il faut reprendre tout le code en vue de l'adapter, ce qui est quelque peu fastidieux. En outre, la présentation obtenue n'est ni très ergonomique, ni très agréable à l'oeil : les boutons sont empilés et collés les uns aux autres, de façon anarchique et informe. Aussi faut-il retravailler la mise en forme. Pour ma part, j'ai utilisé une simple liste à puces, remodelée avec des CSS et fractionnée en colonnes, au moyen de quelques DIV floatées. Cela m'a permis d'obtenir un rendu un peu moins "soviétique", visible sur ma page d'abonnement. Désormais, le bouton RSS situé en haut du carnet et dans le soin supérieur de chaque billet pointe sur cette nouvelle page de syndication.Je projetais de réaliser un fork adapté à la dernière version de GuppY, mais j'ignore s'il sera utile ; aussi n'ai-je encore rien entrepris. Si ce développement vous intéresse, n'hésitez donc pas à le faire savoir. Il était grand temps de souhaiter aux visiteurs de Saute-Mou' une bonne et heureuse année 2006 ! C'est maintenant chose faite grâce à Penguin for you, une rigolote application Flash qui génère une carte postale animée personnalisable. A peine avez-vous saisi quelques mots dans le champ réservé à cet effet qu'un téméraire pingouin se lance dans un surf endiablé sur les pentes glacées, son ventre creusant dans la neige votre message, le tout en musique !

Développé par Jconcept.com, E-pagerank est un service en cours de gestation, qui proposera sous peu un service du type Free-pagerank, dont j'ai parlé ici, qui permet d'afficher, sous forme de discrète icône, le Page-Rank (PR) de votre site.
Voici l'e-pagerank de Saute-Mou' :

Le Sloganizer est un générateur de slogans ronflants. Saisissez le nom de votre site (ou un quelconque mot-clef : nom d'un logiciel, pseudo) et vous obtiendrez, à chaque rafraîchissement de la page, un nouveau slogan, formulé en anglais, du genre :
- "Firstclass Saute-Mouton !"
- "Saute-Mouton groove."
- "Saute-Mouton, you'll love it !"
- "Lucky Saute-Mouton."
Si vous choisissez la version texte, il vous suffit d'insérer ce codelet en PHP dans une page (type sample.php pour les GuppYstes) :
<? readfile("http://www.sloganizer.net/en/outbound.php?slogan=Saute-Mouton"); ?>
Si vous choisissez la version graphique, vous aurez à choisir entre plusieurs styles, dont voici un échantillon :






Notez que j'ai retravaillé les images, afin d'éliminer le filigrane de publicité, qui estampille chaque image. Pour obtenir une image dynamique, affichant un nouveau slogan à chaque rechargement de la page, vous devez insérer un fragment de code. Ce dernier est automatiquement généré par le Sloganizer en fonction du mot-clef que vous avez saisi ; vous n'avez plus qu'à le copier-coller. Ainsi ce code :
<img src="http://www.sloganizer.net/en/style4,Saute-Mouton.png" border="0" alt="generated by sloganizer.net" title="This slogan was generated by sloganizer.net"/>
affichera-t-il l'image suivante, dont le slogan changera à chaque rafraîchissement de la page :

- Il compresse les 3 formats usuels (
*.gif, *.jpg
et*.png
) via une même interface - Les images à convertir peuvent être en ligne ou sur le disque dur.
- On peut afficher toutes les images graduellement compressées pour sélectionner, dans la liste, celle dont le rapport qualité / poids répond à notre besoin spécifique.
- En plus de les compresser, on peut convertir les images dans un autre format que celui d'origine.
- L'interface est très sobre et sans pub, de sorte qu'elle se charge vite.







Voici une série dédiée aux GuppYstes (servez-vous) :














Entrez un mot-clef (pas trop long, de préférence en anglais) et récupérez alors les boutons générés à partir d'images en rapport. Puisqu'images et couleurs de fond des boutons varient à chaque requête, n'hésitez pas à la relancer plusieurs fois pour obtenir plusieurs modèles. Hélas, les serveurs sont saturés et les résultats se font longtemps attendre et souvent en vain...
Edit : les GuppYstes trouveront dans la section Guppy des cartons de Saute-Mou' un zip contenant 20 micro-boutons à l'effigie de leur CMS préféré. Les userbars sont des visuels qui pullulent depuis quelque temps sur les forums. Il s'agit de fines barres au style "glassy" que les posteurs glissent dans leur signature pour afficher leurs goûts et définir, succintement, certains traits de leur personnalité. Les userbars indiquent ainsi pêle-mêle que vous aimez les CSS, regardez "24h chrono", jouez à Counter Strike, militez pour l'utilisation de Firefox, abusez de Google, êtes d'humeur joyeuse ou irascible, etc.
Collections
Sur le site français des userbars, vous trouverez une galerie thématique peu fournie (jeux, hobbies, TV, marques, etc. ), dans laquelle vous trouverez par exemple cette userbar, réservée aux fans de 24h :![24H chrono [userbar]](img/userbar24.jpg)
Sur userbars.com, vous trouverez une collection également thématique, bien plus large que la précédente, mais dont les graphismes sont de qualité variable (certains franchement peu soignés). Les heureux possesseurs d'Ipod le diront par exemple en image :
![Ipod owner [userbar]](img/userbaripod.gif)
C'est toutefois sur userbars.net que vous trouverez la collection la plus large, puisqu'elle compte plus de 1000 userbars ! Une inscription est nécessaire pour accéder aux forums qui rassemblent les créations par thèmes. Ainsi, les fans de Pulp Fiction pourront-ils arborer cette userbar évocatrice :
![Pulp Fiction Fan [userbar]](img/pulpfictionfan.jpg)
Do it yourself
Vous ne trouvez pas votre bonheur ? Créez vous-même votre userbar grâce à ces tutoriels, glânés sur la Toile.D'abord, le site français des userbars propose un tutorial en français pour vous aider à réaliser vos propres userbars avec Photoshop. Sur le forum du site TutorialBomb, vous trouverez un autre tutoriel pour Photoshop, mais en anglais. La technique proposée dans ce User Bar Tut diffère légèrement de la précédente.
Les utilisateurs de The Gimp ne sont toutefois pas en reste, puisque le forum de CrystalXP leur proposent ce tutoriel, très soigné et en français.
Enfin, sur le même forum CrystalXP, les utilisateurs de Photofiltre trouveront leur bonheur avec ce tutoriel dédié, qui mériterait toutefois d'être réécrit, bien que l'essentiel soit compréhensible.
Générateurs en ligne
Pour commencer, jetez un oeil à l'Online SiGGy Maker, encore en phase bêta, qui vous permet de personnaliser à votre nom une trentaine d'userbars : Google user, Xbox user, PHP scripter, Trillian user, etc. Vous entrez votre nom, choisissez une police et récupérez votre userbar personnalisée :![Utilisatrice de Google [userbar]](img/userbargoogle.png)
J'ai gardé le meilleur pour la fin. Avec ce générateur d'userbars en ligne, vous pouvez générer une dizaine de graphismes aléatoires, à partir de mots-clefs. Les images, pêchées sur Google, illustreront (plus ou moins) le mot-clef. La banque d'images en compte 1 345 232 432 images ; il y a donc de quoi faire... Notez toutefois que les mots-clefs formulés en français donnent moins de résultats que les mots-clefs formulés en anglais. Malheureusement, ce générateur rencontre un tel engouement que les ressources du serveur ne lui permettent quasiment plus de fonctionner. Pour ma part, j'ai eu la chance de longuement jouer avec au moment où il était encore assez confidentiel, de sorte que j'ai pu produire la petite collection qui suit. Aujourd'hui, en revanche, c'est tout juste si j'accède à la page et le moteur mouline trèèèès lontemps avant d'accoucher d'une userbar sur 10...
Voici donc les userbars que j'ai créées (sans trop de peine, je l'avoue !) du temps où le générateur fonctionnait encore. Servez-vous !














































