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Merci à Franck pour ce forward d'actualité
De quel plat Kamo est-il le spécialiste ?
- Khamel : Oui il est le spécialiste à ce plat.
- Faiza : Kamo et le sepecialisste des sebagiti.
- Lauriane : Le petit plat cuisiné par Kamo et un grintin d'ophinois.
- Khamel : Non, il ne faut pas un debut de roman.
- Faiza : Le marché qu'il font. La mere dois gardé sont travaille, pendant 3 mois. Kamo doit apprendre sont englais.
- Christophe : le marcher du coin.
- Christophe : un truk totallement faux
- Arnold : Il ecri melanger, motier françai, moitier anglais.
- Michel : il écrit penché.
- Julie : Elle est la fille du monsieur qui s'est fait tuer par les hommes de l'île au sandwich. (NDLR : une allusion est faite dans le roman au capitaine Cook et Julie a quelque peu "échafaudé" à partir de cette mention !)


Démonstration
L'idée est de fabriquer des textes rétractables, fonctionnant comme les menus dépliants de GuppY, mais insérables n'importe où, dans des articles, des billets, des boîtes libres... Le code exploite le javascript nécessaire au fonctionnement des menus dépliants et nativement inclus dans GuppY et donne ceci, par exemple :Cliquez pour afficher le texte caché
Les exemples d'applications de ce genre de textes rétractables ne manquent pas : on peut les utiliser pour dissimuler la réponse à un questionnaire (donc pour confectionner des quizs), ou pour insérer des filets dans un article, tout en économisant de la place sur la page, ou encore pour abriter l'exemple qui illustre une définition dans un lexique, afin de compacter ce dernier, etc.
On-and-off Maker
Le code du texte rétractable n'étant cependant pas très commode à manipuler, j'ai confectionné, à l'usage des GuppYstes (mais surtout pour mon propre usage, je le confesse) un générateur de textes rétractables permettant de produire automatiquement le code à copier-coller, à partir d'un simple formulaire à renseigner.Il n'y a qu'une seule mise en garde concernant l'usage de ce générateur : il faut toujours veiller à ce que le nom donné au texte rétractable soit unique. Par ailleurs, n'utilisez ni caractères spéciaux, ni accents, ni espaces, ni chiffres. Avec des lettres, vous avez cependant de quoi faire ! Pour obtenir une image survolée, comme celle-ci :
... voici le code à utiliser :
<a onmouseover="document.poops.src='img/poops2.gif'" onmouseout="document.poops.src='img/poops1.gif'" href="#">
<img src="img/poops1.gif" name="poops" alt="Texte alternatif" title="Infobulle" />
</a>
- Les deux images utilisées doivent avoir les mêmes dimensions, la même extension et le même radical (ici, poops). Vous numéroterez obligatoirement 1 l'image qui s'affiche par défaut (ici, poops1.gif) et 2 l'image qui s'affiche au passage de la souris (ici, poops2.gif).
- Dans le code ci-dessus, vous remplacerez le mot en vert (poops) par un autre mot, qui sera unique et propre à chaque rollover. Il ne peut y avoir deux rollovers identifiés par le même nom sur tout votre site. Ainsi, si vous faites 3 rollovers sur des images de fleurs, il faudra remplacer poops par tulipe, rose et bleuet, par exemple.
Le rollover maker
Comme je trouvais le code un peu fastidieux, j'ai fabriqué un générateur de rollovers, qui produit automatiquement le code indiqué plus haut. Il est à la disposition de tous, et particulièrement des GuppYstes, qui devront bien penser à charger les images du rollover dans le répertoire img/ de leur GuppY. Voici une petite astuce CSS, facile à mettre en oeuvre et qui peut être utile pour améliorer l'interactivité de votre site, lorsque vous y insérez des jeux ou de petites devinettes, comme dans la démonstration suivante, construite à partir de devinettes littéraires, proposées par des élèves de 3ème.Démonstration
Mon premier est un cochon en anglais.Mon second est un adjectif possessif.
Mon troisième règne sur les animaux.
Mon tout est un roi de Chypre qui tomba amoureux de la statue qu'il avait sculptée.
Je suis...
Je suis le nom d'une pierre précieuse et celui d'un professeur, chez Marcel Pagnol, à qui tout réussit depuis qu'il est devenu malhonnête.
Je suis...
Observe les mots aimer et Marie et tu m'auras trouvé.
Je suis...
Survolez les pointillés pour découvrir les mots manquants :
- "Que diable allait-il faire dans cette ..... ?"
- "Il pleure sur mon coeur, comme il pleut sur la ......"
- O bruit doux de la ..... par terre et sur les toits".
Le code commenté
<span onmouseover="this.innerHTML='texte qui apparaît sous la souris'"; onmouseout="this.innerHTML='texte qui apparaît après le passage de la souris'" style="cursor: help; font-weight: bold;">
texte par défaut : survolez-moi
</span>
- onmouseover="this.innerHTML='...'" correspond au texte qui apparaîtra au passage de la souris.
- onmouseout="this.innerHTML='...'" correspond au texte qui apparaîtra après le passage de la souris.
- Entre les balises <span>...</span>, on note le texte qui apparaît par défaut.
- On peut remplacer les balises <span>...</span> par d'autres balises <h3>...</h3>, <div>....</div>, etc.
- Si l'un des textes à saisir contient une apostrophe, il faut la précéder d'un antislash (ex : c\'est l\'heure)
- On peut ajouter d'autres attributs CSS dans la balise style, par exemple style="text-align: center; color: red; text-transform: uppercase;" pour obtenir un texte centré, écrit en lettres capitales et en rouge.


Le Saute-mouton, d'après Albert Anker
Jolie carte postale, visible au musée Goupil de Bordeaux, le Conservatoire de l'image industrielle. Un billet, inutile, pour afficher mon PageRank chez Google :
Vous pouvez obtenir le vôtre sur Urltrends, en entrant l'URL de votre site. Un rapport complet est alors généré et consultable à tout moment. Puisqu'il paraît que bis repetita placent, permettez-moi de citer à nouveau Ozgul, qui, dans le cadre d'un exercice de recherche lexicale, définit ainsi le mot "révérend" :
Mon révérend : c'est un titre d'honneur, c'est quand on fait quelque chose et quand on le fait, on dit comme je les fait vous me passez ça...Dans la même veine, voici quelques définitions de Fouad :
Mon révérant : mon révérant c'est un maire d'un pays
carriloner : tourner en rond
mirifiques : un vieux plat
alambics : c'est une plante
bredoulera : il fait la têteTrouvée dans la copie de Laniya, cette jolie définition, inattendue, mais assez juste au fond :
Distillerie : lieu où l'on répand l'ennui.
Contrôle de lecture - 2ème session
Voici le questionnaire auquel les élèves devaient répondre :Les trois messes basses
Le cadre spatio-temporel
1) Quand cette histoire se passe-t-elle (2 réponses : indiquez un siècle et un événement précis) ?
2) Où le récit se déroule-t-il (3 réponses : donnez le nom d'une région et de deux bâtiments situés sur un mont) ?
Les personnages
3) Qui est dom Balaguère ?
4) Qui est Garrigou (2 réponses : ce qu'il paraît être et ce qu'il est vraiment) ?
Le récit
5) Où dom Balaguère doit-il se rendre après minuit et pour quoi faire ?
6) Quel péché dom Balaguère commet-il ?
7) De quelle manière commet-il ce péché ? (dites comment il se comporte)
8) Qu'arrive-t-il à dom Balaguère pendant la nuit ?
9) A quoi est-il condamné et par qui ?
L'élixir du Révérend Père Gaucher
10) Pourquoi cet élixir a-t-il sauvé le monastère des Pères Blancs ?
11) Quel risque le Père Gaucher court-il à cause de cet élixir ?
12) Comment ce problème est-il résolu par le prieur une première fois ?
13) Quelle solution le prieur trouve-t-il à la fin pour sauver le Père Gaucher ?
Voici quelques réponses de Nirojan - Nirojan, ou le bon sens en action :
3) Qui est dom Balaguère ?
Dom balaguère c'est le personnage de l'histoire.
5) Où dom Balaguère doit-il se rendre après minuit et pour quoi faire ?
Dom Balaguère doit se rendre après minuit pour rencontré quelqu'un.
6) Quel péché dom Balaguère commet-il ?
Le péché que Dom Balaguère commandent c'est un poisson.
12) Comment ce problème est-il résolu par le prieur une première fois ?
Le problème a résolu par le prieur une primière fois en lui donnant une solutions.
13) Quelle solution le prieur trouve-t-il à la fin pour sauver le Père Gaucher ?
Le prieur trouve à la fin pour sauver le père Caucher en lui donnant une solutions. La solutions est de faire rentrer l'élixir dans le corps du père gaucher.
Le loup et le chien mis en quartiers
Avant les vacances, j'avais donné à mes élèves de 5ème une récitation à apprendre. Pas une fable de La Fontaine en entier, vous pensez bien, c'est trop long : leur limite d'apprentissage est fixée au sonnet. Aussi ai-je découpé "Le loup et le chien" en rôles : le narrateur, le loup et le chien. Chaque élève n'avait à apprendre que son rôle. Les trinômes ainsi constitués devaient donner une petite représentation, s'essayer à une mise en voix et en scène de la fable, en exploitant les commentaires que nous avions faits en classe sur le fonctionnement de la fable, notamment sur les rapports de force inversés entre le loup et le chien, palpables dans les dialogues : le chien, d'abord beau parleur et sûr de lui, devient laconique, dès que le loup se fait un peu trop inquisiteur et multiplie les questions embarrassantes.Les représentations furent assez lamentables. Je ne m'attendais pas à de puissantes mises en scène, mais au moins à ce que les élèves aient à peu près appris leurs rôles (une quinzaine de vers chacun, 8 pour le loup). Naturellement, il n'en fut rien : ils n'avaient pas appris leur texte et restaient plantés sur la scène improvisée du CDI à hoqueter des bribes d'octosyllabes, au fur et à mesure que leur revenaient à l'esprit quelques passages étudiés en classe.
Désespérant...
La palme

Je le convoque donc à la fin du cours et l'interroge sur les motifs de cette action grave et stupide. Il m'explique, dans son vert langage d'adolescent du 9-cube, qu'il a eu peur que "sa mère l'engueule", à quoi je rétorque qu'en agissant comme il l'a fait, il lui a donné d'excellentes raisons de le faire. Je lui fais remarquer qu'il n'avait aucune chance que j'oublie de vérifier son carnet et suggère, ironiquement, qu'il me prend pour une imbécile. Pour toute réponse, il s'est contenté de hausser les épaules et d'esquisser la moue de l'incertitude...
Cette petite graine de chenapan va voir de quel bois je me chauffe ! D'ordinaire, en bonne fonctionnaire, je tombe malade pendant les congés. Systématiquement. A vrai dire, c'est assez frustrant, car je ne profite jamais des vacances pour me reposer, de sorte que je reprends le chemin de la banlieue-qui-crâme fatiguée et quelque peu aigrie. En contrepartie, je n'ai aucune absence à mon actif depuis que j'enseigne, sauf pour des raisons indépendantes de ma volonté, comme les grèves de la RATP ou des
Cette fois, je suis tombée malade le lendemain de la rentrée, hier. Naturellement, comme j'avais deux heures de cours avec ma 3ème, je suis allée travailler malgré tout, avec la fièvre, le nez qui coule, l'oeil vitreux et la vaillance au coeur. (On ne peut pas se permettre de manquer deux heures de 3ème - brevet oblige !) Inutile de dire que je n'étais pas au mieux de ma forme et que mes talents oratoires étaient bien rédimés : l'accord du participe passé fut périlleux et le bilan de conjugaison acrobatique et fantaisiste. On n'imagine pas à quel point la maladie peut nous diminuer ; hier, j'en ai cependant pris la mesure. Mes élèves aussi, sans doute. J'ignore si c'est la consternation ou la compassion qui les a poussés à se conduire en parfaits petits biquets, calmes, attentifs, appliqués et pleins de tendre sollicitude à mon égard ("M'dame, vous auriez dû rester chez vous !")
En rentrant à 17h30, je me suis affalée sous la couette. Il faisait encore jour, je ne voulais pas m'endormir trop tôt et ai donc regardé un DVD, les Triplettes de Belleville (génial, au passage).

Puis, tout ce dont je me souviens, c'est de m'être enfoncée dans un sommeil moite, agité, fébrile, entrecoupé de réveils hagards. J'ai fini par émerger tout à fait vers 11 heures ce matin, après un tunnel de... 15 heures de sommeil !
Y a pas à dire, la maladie nous diminue.

Au vu des 11 zéros que je viens de distribuer (et le reste est à l'avenant), je confesse l'échec lamentable et total de ma stratégie. Lire deux récits, soient 4 pages, c'est encore trop demander. Ce soir, je devine donc, avec une acuité douloureuse et une prescience amère, à quel point je vais ramer quand on va étudier Oliver Twist... Certes, je leur ai fait acheter le roman en version abrégée, mais, même réduit à son plus simple appareil, le volume compte encore - ô ciel ! - 150 pages. Je vais finir par me rabattre sur Oui-Oui fait péter la banlieue, Oui-Oui arrache sa race et Oui-Oui nique la cité, et encore, à condition que je trouve ces oeuvres en éditions adaptées pour lobotomisés précoces.
Grrrr... je suis furieuse, je le sens bien. 'Vont m'entendre à la rentrée, les bougres !
Enfin, je cède au plaisir de citer la copie d'Ozgul, qui, si elle a du moins fait l'effort de lire les 4 pages, a hélas omis de saisir le sens de ce qu'elle lisait. A la question "Le tout dernier paragraphe du récit décrit deux personnages : lesquels ? que font-ils ?", elle répond, avec une poésie qui ne laissera personne insensible, j'en suis sûre :
Jan en cachète il s'enfuiya et la mère dit : Jan s'est toi mon fils, Jan ferma la porte et ouvrir la fenêtre et un moment on n'entendit les cris de la mère elle était nu est sur ses bras Jan remplie de rose et de sang il était mort.
Et vous savez quoi ? Son point, je vais le lui accorder, parce que la soupe charabiesque d'Ozgul que je viens de vous servir, c'est de loin la meilleure réponse donnée à la question posée... J'ai toujours aimé les dictées. Au collège, j'avais été sélectionnée pour participer aux Championnats d'orthographe, sous l'égide de Bernard Pivot. J'avais gagné un prix, lors des finales départementales ; je devais être bien classée, mais je ne me souviens plus précisément. Du moins cela m'avait-il valu un ticket d'entrée aux Championnats nationaux, où j'échouai, aux sens propre et figuré, comme de bien entendu.
La dictée de Messaouda
Ce soir, en corrigeant les dictées de mes élèves de 6ème, je suis prise d'un profond sentiment de découragement, lorsque je découvre, sous la plume de Messaouda, ceci :Vere le 10 oûte, les vacanse fure intérempu, pendant tout une aprés-midi, par un orage, qui angendra, comme cétais a crindre, une Dictée.
L'oncle Jules, dans un fouteuil près de la porte vitré, liser un journal. Paul, accroupi dans un croin sombre, jouer toucel au domino, cet-à-dire qu'il les plaçer bout a bou, au hasard, aprè bien des refection et des soliloc. Ma mère cousais prais de la fenêtre. Mon père, assi devant la table, tout en dégusant un canif sur une pierre noir, liser a aute voix, en répétant deux ou trois fois chaque phrase, une histoire incomprehénsib.
L'oncle Jules, dans un fouteuil près de la porte vitré, liser un journal. Paul, accroupi dans un croin sombre, jouer toucel au domino, cet-à-dire qu'il les plaçer bout a bou, au hasard, aprè bien des refection et des soliloc. Ma mère cousais prais de la fenêtre. Mon père, assi devant la table, tout en dégusant un canif sur une pierre noir, liser a aute voix, en répétant deux ou trois fois chaque phrase, une histoire incomprehénsib.
Inutile de dire qu'elle a eu 00/20... S'il n'y avait qu'elle, je ne serais pas inquiète, mais le fait est que les 2/3 de la classe ont obtenu la même bulle, tandis que le tiers restant se partage des notes allant de 05 à 20 - manifestement, un cerveau s'est glissé par erreur dans la classe.

Diagnostiquer les problèmes
En corrigeant ces copies, je me sens désarmée et dois néanmoins mettre en place une "remédiation" aux problèmes, connexes, qui se superposent et se nourrissent les uns les autres :Une dyslexie galopante - J'ai téléchargé sur Internet des tests utilisés par des orthophonistes et y ai soumis les élèves. La moitié de la classe a obtenu des résultats inquiétants ; certains élèves - dont Messaouda - sont incapables de discriminer les sons, qu'ils brassent donc allègrement - ô ravages des méthodes globale et semi-globale ! Or les séances chez l'orthophoniste sont trop coûteuses pour les familles, sans emploi, sans ressources ou quasi. Aucune suite ne sera donnée au rendez-vous chez l'orthophoniste que j'ai conseillé depuis la rentrée à nombre de familles.
Livrés à eux-mêmes - Le soir, quand ils rentrent de l'école, les élèves regardent la télé dans le meilleur des cas et dans le pire, ils traînent, désoeuvrés, dans "le quartier", en compagnie de la crème locale en matière de délinquance juvénile. Les devoirs sont, au mieux, bâclés, au pire, négligés. Les mots de la dictée, étudiés, expliqués, recopiés en classe, sont tout bonnement restés enfouis dans le classeur de français. D'ailleurs, la feuille de cours aura probablement été rangée dans la mauvaise partie du classeur... parce que nos élèves n'ont aucune méthode et que nos cours de méthodologie s'avèrent inopérants, après plusieurs années de mauvaises habitudes. Les seuls élèves qui ont un tant soit peu aéré la préparation de la dictée, en la relisant vaguement pendant la récréation, sont naturellement ceux qui en avaient le moins besoin.
Primo-arrivants et ex-NF - Toutes ces difficultés sont aggravées pour les anciens non-francophones et pour les élèves qui ne parlent pas français à la maison, parce que leur famille s'y refuse ou ne sait pas.
"Remédier" comme ils disent
Dès lors, quelles solutions mettre en oeuvre ? Les programmes en ont trouvé une assez confortable bien qu'expéditive, en bannissant pour ainsi dire l'exercice de la dictée de la pratique recommandée, parce que la dictée serait vécue par les élèves comme un exercice vexatoire et humiliant.On ne m'empêchera néanmoins pas de penser qu'une dictée préparée, travaillée en classe, est une pratique enrichissante et que la maîtrise de la langue passe aussi par cet exercice qui a formé des générations d'individus, Marcel Pagnol y compris - le texte cité plus haut étant un extrait de La gloire de mon père...
Puisque travailler les règles de grammaire et copier les mots difficiles ne suffit pas, je vais désormais m'en remettre à la pratique de l'auto-dictée : nous préparerons ensemble la dictée en classe, en copiant les mots difficiles, en revoyant les règles d'accord, de conjugaison, les homophones. Ensuite, je distribuerai une copie de la dictée, car les élèves ne savent pas recopier sans faire de fautes (la moyenne de la classe pour un exercice de copie est de 04,5/10... ) A charge pour eux de l'apprendre par coeur et de la restituer par écrit. Je puis pourtant parier que la moyenne de la classe sera inférieure encore, parce que... ils n'apprendront pas ce texte.