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Un futilitaire parfait : Muse-O-Matic est un petit "Tune Toy" en ligne. Il va lire le contenu de l'URL que vous aurez saisie et utiliser les données collectées pour générer une musique par algorithme (?) Vous pouvez effectuer un certain nombre de réglages avant de lancer la moulinette : nombre de notes, tonalité, longueur du morceau, instrument... Naturellement, j'ai testé pour vous, en entrant l'URL de Saute-Mouton. Les résultats reflètent la remarquable harmonie de ces pages


AAAlogo est un logiciel permettant de fabriquer des logos, à l'instar des générateurs que j'ai déjà mentionnés, mais qui fonctionnaient en ligne. AAAlogo n'est évidemment pas gratuit, mais la version de démonstration permet tout de même, grâce à une banque de polices et de templates assez fournie, de donner libre cours à son imagination. Certes, on ne peut pas exporter les logos avec cette version bridée, mais pour contourner cette difficulté, il suffit de faire une capture de la zone d'écran où l'on a créé le logo, avec un logiciel adapté, puis d'éditer l'image capturée dans son logiciel d'édition graphique.
Compliqué ? Pas si on utilise Photofiltre, le logiciel de retouches d'images gratuit et performant, et qu'on y greffe le plugin de capture, très configurable et aisé à manipuler. On peut alors obtenir de jolis logos, par exemple :

Profitant de cette mise à jour, j'ai ajouté quelques autres montages, en prenant soin de poster un lien direct vers le générateur à l'origine de la photo, sous chacune d'entre elles :
Vous non plus n'avez pas le moindre talent de graphiste ? Vous aussi désespérez de fabriquer le logo de votre site ? Heureusement, de nombreux sites proposent des générateurs en ligne. Avec de la patience, après de multiples tentatives, et grâce à quelques retouches dans son éditeur graphique préféré (Photofiltre par exemple), on peut donc obtenir un logo qui tient franchement la route.
Ainsi, sur Cooltext, Flamingtext ou encore Grsites, peut-on fabriquer des logos variés et avoir même de bonnes surprises. La section Autres logos de la galerie de Saute-Mouton donne un aperçu des logos que j'ai générés sur ces sites :
Néanmoins, deux générateurs tiennent le haut du pavé : il s'agit de celui de Logo-Yes, avec lequel j'avais fabriqué la première série de Petits logos et de celui d'InstaLogo, grâce auquel j'ai complété la série de Petits Logos de la galerie :
Au hasard de mes pérégrinations, j'ai découvert cette shoutbox, codée en flash / PHP et fonctionnant avec un fichier texte pour le stockage des messages. L'avantage du format flash, c'est qu'il ne requiert pas de rafraîchissement de la page pour actualiser.
Un clic sur le petit "C" situé dans le coin supérieur droit de la boîte vous amènera sur le site des développeurs. Il semblerait que le lien de téléchargement de la version anglaise ne soit plus valide, donc
- téléchargez la version espagnole sur le site de l'auteur
- utilisez ce lien de téléchargement
- puisez le zip dans mes cartons
- d'avoir été créées par un générateur en ligne
- d'être liées à Saute-Mouton.org
- de contenir un texte assez crétin dont je suis l'auteur !
Voici un aperçu de la galerie Montages :
Dans la foulée, j'ai mis en ligne une série de logos pour Saute-Mouton, dans une autre section intitulée Petits logos que j'ai fabriqués grâce à un autre générateur en ligne, dont je préciserai l'adresse, quand je l'aurai retrouvée dans mes signets sur Del.icio.us

Enfin, j'ai créé une nouvelle page à partir d'un petit script trouvé sur le web, oisivement stocké sur mon disque dur pendant lontemps avant que je ne le redécouvre. J'y présenterai mes textures, destinées à tapisser des fonds de page. Je précise que pour mes tests, j'ai toutefois utilisé quelques textures que je n'ai pas créées.
Je m'aperçois que j'atteins la limite de stockage autorisé sur mon espace web : il va falloir que je rachète en urgence de l'espace chez Websiteout, mon hébergeur... Les mises en ligne seront limitées en attendant !

Je suis sidérée par la justesse des graphismes. A votre tour, tentez l'expérience : choisissez une photo d'identité (de vous, c'est mieux), chargez-la sur le serveur, suivez les instructions et obtenez plusieurs transformations de l'image initiale : vous en plus jeune, en singe, en plus vieux, avec des traits asiatiques ou africains, peint par les artistes mentionnés plus haut, etc. C'est une très chouette expérience !
J'ai inauguré ce soir, dans l'espace E-cartes, une nouvelle section intitulée Abstractions. Les images ont été produites grâce au superbe outil de création graphique en ligne, ArtPad, qui vous permet de jouer les artistes peintres et même d'exposer vos productions dans le musée ; jugez par vous-même de l'effet produit :
En me promenant dominicalement sur la toile, je suis tombée par hasard sur l'Image embellisher qui m'a enthousiasmée, tant cet outil ouvre de perspectives ! Ce générateur en ligne, gratuit et fonctionnant sans enregistrement, permet d'appliquer des effets spéciaux sur des images.
Comment ça marche ? demanderait l'autre, qui ne se prénomme pas Jean-Claude. Très simplement : on charge une image de son disque dur sur le site, on choisit l'effet à appliquer ainsi que la taille de l'image à générer et le script génère l'image transformée (*.png zippé), accompagnée d'une vignette de prévisualisation (100x100). Voici les effets applicables (mes préférés sont marqués d'une étoile) :
- cube*
- glass cube (cube transparent)*
- wave (vague)*
- sphere
- disk
- marble shadow
- cylinder*
- transparent globe



Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, j'ai trouvé sur le même site un compresseur d'images (*.jpg) qui permet de réduire le poids des images, mais qu'on peut utiliser sans limitation commerciale, contrairement aux crunchers de chez Spinwave , que j'avais déjà mentionnés.
Comme dit le proverbe, "jamais deux sans trois" : voici donc en dessert un autre outil en ligne, trouvé sur le même site. Il s'agit d'un splitter d'images, qui permet :
- de découper, en autant de morceaux que voulu, une image choisie sur son disque dur
- d'y appliquer un effet onmouseover grâce à un filtre "niveaux de gris" (grayscale)
- de télécharger le code HTML et les morceaux de l'image splittée
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Chaque lien listé pointe sur l'un des quelque soixante billets publiés ici depuis novembre 2004. Les billets sont classés par ordre chronologique et une infobulle "onmouseover" indique la date et l'heure de leur publication. Notez que les titres des liens ont été tronqués quand ils étaient trop longs. Dans un précédent billet, j'avais mentionné l'existence de Browsershots, un très pratique outil open source en ligne, qui affichait, sous forme de planche contact, une série de screenshots du même site vu sous différents navigateurs. Il y a quelques jours, j'ai rencontré son équivalent Mac : ICapture permet de voir un site à travers les "yeux" de Safari. Une inscription est nécessaire pour accéder au service, mais ce dernier est gratuit. Saute-Mouton passe l'épreuve de la "pomme" avec succès :
Lixlpixel est aussi un générateur de captures de sites, sauf qu'on peut sélectionner le navigateur Mac de son choix : Safari, MacIE ou Mozilla pour Macintosh. Le rendu, très graphique et soigné, est visible ici :
Saute-Mouton s'en sort bien tant qu'on le visite avec un navigateur moderne. Les vieux coucous en revanche s'y cassent les dents, comme me l'a prouvé l'expérience tentée grâce au remarquable Browser Emulator de Déjavu.org. Des simulations de navigation sous IE2, Lynx, Netscape4, Mosaic Netscape, HotJava (bref, l'arrière-garde du navigateur... ) m'ont permis de mesurer l'importance de la version mobile que GuppY offre en standard ! Cette version, bien que limitée et d'une austérité graphique que goûterait un Mormon

L'accessibilité des sites tournant sous GuppY est ainsi plus que préservée ; que dire sinon que l'honneur est sauf ?


D'abord, dans le cadre d'un usage privé, c'est brillant. Chaque utilisateur enregistré possède son compte personnel, affichant la liste des signets qu'il a collectés. Il peut les commenter, les éditer, les effacer, les (re)classer avec des "tags" (mots-clefs). Grâce à une extension Firefox et à une bookmarklet (pour les utilisateurs de MSIE), l'ajout d'un favori à la bibliothèque se fait très simplement, d'un simple clic droit sur la page convoitée.
Mais le mieux, c'est que tous les signets sont ensuite mutualisés, agrégés par catégories et partagés, de sorte que chacun fait part de ses trouvailles au reste de la communauté. Le nombre d'utilisateurs ayant bookmarké une même page est indiqué à côté de chaque marque-page : les pages à succès sont ainsi vite repérables... et le réseau se tisse, inexorablement. En me promenant sur la banque de liens, j'ai découvert une multitude de sites géniaux, dont une magnifique référence pour les CSS, que j'ai à mon tour linkée. L'ancestral principe du bouche-à-oreille fonctionne à plein régime, pour le meilleur, mais - pour l'instant du moins - jamais pour le pire. Pourvu que cela dure !
Mais le fin du fin, c'est la syndication étendue du système. Chaque page, qu'il s'agisse de la bibliothèque entière et personnelle d'un utilisateur ou d'une catégorie spécifique de liens mutualisés, possède son propre fil RSS. Voici le fil des mes propres signets (toutes catégories confondues) et le fil des liens CSS mutualisés. Il devient ainsi extrêmement facile de gérer et diffuser ses signets de façon ordonnée sur son propre site web ! On peut aussi se donner la chance de bénéficier, en temps réel, des liens stockés par les autres usagers, en les syndiquant sur son site.
Bref, je suis conquise par Del.icio.us et vous invite à vous y ruer, avant que tous les pseudos ne soient réservés ! J'ai décroché Isabelle, car Isa était déjà pris... Autre mise en garde : l'anglais est de rigueur sur le site, pour favoriser les échanges.


C'est d'ailleurs en furetant sur Del.icio.us que je suis tombée sur le Typogenerator. Vous découvrirez le résultat de ma séance de récréation sous la forme d'une nouvelle série de cartes postales, intitulée Typomontages. Je n'ai aucun mérite : c'est la générateur qui a tout fait

A cette fin, j'avais jadis tenté d'utiliser un script codé en javascript, mais le résultat était piteux, car, pour des raisons d'incompatibilités diverses entre les navigateurs, le site repose encore sur une structure tabulaire et non sur des DIV. Or le script requiérait une structure en DIV pour fonctionner.
Aujourd'hui, en une dizaine de minutes, j'ai réussi, et très simplement, à parvenir à mes fins. Ainsi, en bas des articles, ai-je ajouté une option Colonnes off : un clic sur le lien fait disparaître les colonnes latérales. Ensuite, un clic en bas de page sur Colonnes on les fait réapparaître [tester ?] La technique pourrait être étendue - et le sera sûrement - aux galeries et au forum.